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La planète Mercury s’apprête à ouvrir ses portes

NewTrack vient de dévoiler ce qui est peut-être le projet le plus intéressant (et alléchant) de cet été : Mercury, open-air de 5600m2 dédié à la fête sous toutes ses formes et en toute sécurité. 

Alors que certaines rumeurs émanant des hautes sphères de l’État font vent d’une fin de couvre-feu – et des emmerdes, on l’espère tous très fort – pour le début du mois de juin, il est déjà temps de choisir dans quels lieux on passera le plus clair de notre été. Histoire de se remémorer quelques instants oubliés. 

Il n’est même pas encore sorti de terre qu’il représente un concurrent aussi sérieux à la victoire finale dans ce concours que Manchester City en Ligue des Champions (j’aurais mis le PSG s’ils ne s’étaient pas liquéfiés en seconde mi-temps). Installé dans les Docks de Paris, à la frontière de Saint-Denis, Mercury est un projet plus qu’alléchant, un open-air de 5600m2 imaginé par NewTrack, acteur majeur de la vie culturelle “underground” de notre capitale et habitué des tiers-lieux festifs

Une véritable planète aux différents écosystèmes de loisirs et de fête, entre scène de live – dont “éclectisme” sera le maître-mot de la programmation –, bornes d’arcade, fanzone pour suivre la victoire de la France à l’Euro 2021, expositions, drag shows, disquaires et friperies à ciel ouvert… Et à manger et à boire, bien évidemment ! Un programme très chargé, mais il faut bien ça pour nous occuper tout l’été.

 

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D’autant plus que Mercury se veut aussi comme un lieu où chacun.e peut se sentir en sécurité. En sécurité par rapport au Covid, évidemment, avec un équilibre trouvé entre réduction des risques sanitaires et propagation du bonheur. Mais aussi en sécurité par rapport à toutes les embrouilles qui peuvent transformer un moment sympathique en catastrophe, que l’on parle d’une rencontre dérangeante ou d’un verre de trop un peu trop de trop, grâce à deux safe-zones.

Pour atterrir sur cette nouvelle planète, aucun besoin de faire la queue – enfin, peut-être qu’il le faudra ? – et de sortir 35 millions de Dollars de sa poche pour se payer un voyage en SpaceX. N’est pas Thomas Pesquet qui veut. Il suffit juste d’attendre les beaux jours, l’évolution de la situation épidémique et une date d’ouverture. L’être humain n’a encore jamais mis les pieds sur Mercure, mais Mercury a des chances d’être l’endroit le plus foulé de Paris cet été.

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Jules Vandale