“Confiné comme JaJa” : découvrez le carnet de bord hilarant du producteur Dalton John
Musique - 22.4.2020
Extrait du compte instagram de Dalton John @realdaltonjohn
Le DJ et remixer parisien nous livre une vidéo priceless de son journal de bord en quarantaine. En bonus : sa playlist “african vibes” avec des pièces de choix ! Oh Djadja !
Dalton John transcende les clubs de la capitale depuis plus de 4 ans maintenant mais cela ne l’empêche pas de piocher ses influences chez nos amis les British. Ses sons sont un joyeux mélange entre la House et Bass music, Garage et Pop. Le DJ a récemment rejoint, la toute aussi joyeuse, équipe de The Gum Club qui nous avait concocté leur playlist UK : Gum Football Club #1. Il nous embarque avec lui dans une journée de confiné (comme jaja) où les gestes barrières deviennent la danse de l’été. Le DJ se raconte sans se prendre au sérieux sur un fond de musique house et un montage de qualité.
“Confiné comme JAJA” avec Dalto John
Playlist “African Vibes”
“Ces dernières années, la musique aux sonorités africaines n’a eu de cesse de gagner du terrain et semble être devenue une pièce de choix sur l’échiquier de la musique mondialisée.
Celle qu’on appelle « afro » vient s’infuser dans chacun de nos genres musicaux préférés, et amuse presque tant elle a de facilité à venir charmer les plus grandes figures artistiques contemporaines.
Du rap à la pop en passant par la house, les frontières deviennent floues : voici une sélection d’une heure de musique qui saura vous occuper pendant ces temps propices à la découverte.
Je vous invite à y découvrir un peu de ce qui me fait vibrer en ce moment et à apprécier des sonorités qui me sont chères, sous quelques-unes de ses innombrables formes.”
“Danse mon gars même si plus rien à fêter”
Allez wesh, comme dirait Dalton, checkez aussi le compte instagram de ce beatmaker, où confiné rime bien souvent avec productivité. Il a même crée un morceau entêtant à deux doigts de devenir l’hymne de cette quarantaine : DANSE. Maintenant plus d’excuses : “Danse mon gars même si plus rien à fêter” !