General POP a désormais rejoint le réseau Prose On Pixels

En écoute : “La Bohème” de Charles Aznavour remixée par Stelios Phili (et c’est beau)

La Bohème remixée par le chypriote Stelios Phili (à droite : création de @harisfazlani et photo de @funzach )

Remixer La bohème de Charles Aznavour, véritable monument de la chanson française : un défi osé mais remporté haut la main par Stelios Phili, producteur chypriote émérite ayant fait ses armes pour Young Thug, MIA ou encore SZA.

Reconnu pour avoir notamment bossé avec A$AP Ferg, Blood Orange ou encore Lolo Zouai, le producteur Stelios Phili place la barre haute avec ce remix bluffant, le premier officiellement validé par les ayant-droits de Charles Aznavour. Frissons garantis. Découvrez la version longue (peaufinée par le duo KCPK) ci-dessous :

Le chanteur franco-arménien Charles Aznavour a rendu célèbre cette chanson, composée par ses soins et écrite par Jacques Plante, en 1965. Elle raconte les souvenirs nostalgiques des années de jeunesse d’un artiste peintre montmartrois. Vendu à 200 000 exemplaire, elle reste un des plus grands classique du répertoire de chanson française et symbolise la romance parisienne par excellence.

Cette version revisitée par le producteur chypriote (et new-yorkais d’adoption), illustre à merveille la campagne du parfum Mon Paris Intensément d’Yves Saint Laurent Beauté. Elle a été réalisée par l’agence de productions visuelles General POP.

On vous laisse revivre le film de votre grand amour avec ces quelques lignes du créateur de mode mythique Yves Saint Laurent :

“Il existe mille endroits dans Paris où je pourrais te revoir et écraser tes roses contre mon coeur.

Nos roses. Les plus belles.

Peut-être n’as-tu été qu’un prétexte pour réaliser mon rêve : offrir un parfum à Paris.

Paris prestigieux qui éblouit.

Tes flamboiements et tes crépitements de feu d’artifice font scintiller le monde.

Pour ce nouveau parfum, c’est ton nom que j’ai choisi parce qu’il n’y en a pas de plus beau.

Parce que je t’aime. Mon Paris.”  Yves Saint Laurent, 1983