Jake Gyllenhaal et Jason Clarke à la conquête de l’Everest
- 05.6.2015
Everest est un thriller en haute altitude. L’épopée orientale se dévoile à travers un trailer épatant, aventureux et sous respiration asthmatique.
Synopsis:
Everest s’inspire de l’histoire du défunt alpiniste George Mallory, qui s’est retrouvé pris au piège des dangers glacés de l’Himalaya en 1924. Son corps a été retrouvé 75 ans plus tard, congelé et inaltéré.
Le trajet menant au toit du monde, culminant à plus de 8800 mètres d’altitude, est une expédition redoutable et mortelle. Deux équipes distinctes de grimpeurs vont se confronter à cet enfer frigorifiant. Une lutte féroce contre les conditions climatiques extrêmes se mettra en travers de leurs rêves d’ascension. Un combat au quotidien contre la montagne et ses sévices, mais aussi contre eux-mêmes et leur capacité à travailler en équipe. Les montagnards vont devoir faire preuve de témérité pour s’en sortir vivant.
Intérêt:
Fort en sensations fortes, on vous déconseille néanmoins de regarder la bande annonce jusqu’au bout, un peu trop spoilante à notre goût. Le casting, prestigieux, s’articule autour de Jason Clarke, nouveau John Connor du Terminator version 2015, et de Jake Gyllenhaal, récent juré du Festival de Cannes. Il n’est plus vraiment nécessaire de présenter le beau brun ténébreux, que vous avez certainement aperçu à ses débuts dans Le Jour d’Après ou Donnie Darko. Pour les incultes, on vous conseille les récents Nightcall et Prisoners, pour juger vous même des qualités indubitables de l’acteur.
On complète le casting avec Josh Brolin, Sam Worthington et la belle Keira Knightley. Réalisé par l’islandais Baltasar Kormakur, le topic du long-métrage se situe dans la même veine que 127 Heures ou Buried, c’est à dire centré sur un ou plusieurs personnages faisant face à une situation périlleuse. Sorte de huis clos à l’air libre, l’oxygène viendra rapidement à manquer comme dans le cercueil de Ryan Reynolds. Angoissant et lourd en suspense insoutenable, on espère en ressortir aussi éprouvé que Jack et ses collègues à la fin de la séance. L’hommage n’en serait que plus glorieux.
Dans vos salles le 23 septembre !