General POP a désormais rejoint le réseau Prose On Pixels

24h avec Glamour

Magazine féminin, pontu et tendance, GLAMOUR nous fait part de sa playlist de fin d’année, teintées de chansons de Noël. Une ouverture POP pour l’année 2015 que nous partagerons avec eux !

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Santa Claus Is Coming To Town, des Jackson 5. Encore quelques jours pour écouter des chansons de Noël. Difficile de choisir entre Elvis, Sinatra, Phil Spector et Billie Holiday, mais celle des Jackson 5 est culte.

Despair, Hangover and Ecstasy, de The Dø. Trois mots pour résumer l’esprit de Noël, et un extrait d’un des meilleurs albums de l’année.

On The Regular, de Shamir. Un petit mec qui débarque de Las Vegas et sera bientôt très grand.

Uptown Funk, de Mark Ronson ft. Bruno Mars. Un tube instantané, irrésistible, rétro, zéro défaut.

True Love, de Tobias Jesso Jr. Une pure révélation lo-fi de Los Angeles, qui rappelle les plus belles heures de Paul Simon. Son premier album sortira en mars ; un délice.

Déserteur, d’Adrien Gallo. Le beau talent de mélodiste et d’écriture du leader des BB Brunes.

Can’t Help Myself, de Brodinski. Premier single d’un album très attendu qui officialise le mariage (musical) pour tous : hip hop et électro, pour le meilleur.

Drunk in Love, de Beyoncé ft. Jay Z. La chanson de l’année, qui rend les filles folles et plaît donc aux garçons par ricochet.

Backseat Freestyle, de Kendrick Lamar. En attendant le deuxième album qui ne devrait pas tarder, le vrai renouveau du rap West Coast.

You Don’t Own Me, de Lesley Gore. Un hymne soul féministe des 60’s, qui remet les pendules à l’heure et devrait faire oublier quelques temps les gesticulations de Miley Cyrus et de ses copines agitées.

This Is What It Feels Like, de Banks. Plus discrète que les Azeala et autres agitées du R’n’B, cette chanteuse est la plus lascive du moment. Son album est une perle.

Acrylic Aftenoons, de Pulp. Comprendre les paroles de Jarvis Cocker ? La motivation ultime pour vraiment apprendre l’anglais, cette fois.

Samson, de Regina Spektor. Elle manque non, Regina ? Ce piano, cette mélancolie… La beauté.

Time For Heroes, des Libertines. Ils se reforment, c’est officiel. De la nostalgie en barre pour les trentenaires en boots.

Goodbye Weekend, de Mac de Marco. L’un des meilleurs albums de l’année, alangui et nonchalant ; un remède à la morosité.

She, de She & Him. Une reprise d’Aznavour qui volerait presque la vedette à la version d’Elvis Costello, et donne envie de revoir Coup de foudre à Notting Hill, encore.

Figure It Out, de Royal Blood. Des Anglais, des guitares, un gros son musclé pour les fans de Queens of the Stone Age… et les autres. L’énegie est contagieuse.

Nous Étions Deux, de La Femme. Un gros coup de fouet dans la pop en français. Un groupe déjà immense.

Veridis Quo, Daft Punk. Exhumé grâce à la B.O. du film Eden, un magnifique morceau pré-Pharrell, pré-Get Lucky… Treize ans et pas une ride.

Step, de Vampire Weekend. Perfection à tous niveaux.

Only, de Nicki Minaaj ft. Drake, Lil Wayne & Chris Brown. La reine du mauvais goût a un goût très sûr en termes de featuring et de beats qui tachent, avec un exceptionnel art de la punchline. Respect.

Stay, de Maurice Williams & The Zodiacs. On se fait Dirty Dancing en streaming ce soir ?

Give Him A Great Big Kiss, de The Shangri-Las. Ludique, mignonne, groovy, dansante… La chanson pop ultime ; le girls band définitif.

Faithful Man, de Lee Fields. Sur la B.O. du Saint Laurent de Bonello, et en pole position de toute playlist soul qui se respecte.