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Top 5 des bonnes raisons d’aller au Pitchfork

A quelques jours du début de festival, beaucoup d’entre vous se posent sans doute la question : est-ce que je vais me faire le Pitchfork cette année ?

Pour nous la réponse est clair : c’est un Oui franc et massif. Laisse-nous t’expliquer pourquoi.

1- Des têtes d’affiches en veux-tu ? En voilà.

Cette année les programmateurs n’y sont pas allés avec le dos de la cuillère. Mac DeMarco, Etienne Daho, Julian Casablancas, Blood Orange, Kaytrana, Daniel Avery, Unknown Mortal Orchestra, Bon Iver… autant têtes d’affiches aux allures de Dream Team. Il y en a pour tous les goûts, mais on retrouve toute l’exigence caractéristique de Pitchfork, aucun artiste « pupute », que de la qualité SI SI.

2- T’es plutôt du genre digger ?

Outre le bien nommé festival Pitchfork Avant-Garde qui propose une programmation carrément indé (mais remplie de pépites), le “grand frère” Pitchfork met aussi en lumière quelques jeunes pousses très prometteuses. On pense notamment à Yellow Days ou Boy Pablo, deux fiers représentants de la nouvelle génération « bedroom pop ». Quelques français également, un peu vus et revus, mais pas désagréables : Lewis OfMan et Bagarre.

Coup de cœur  :  Cola Boyy et sa disco-funk déjantée -son titre “Penny Girl” a de quoi faire rayonner la plus grise journée de novembre.

3- Car la meilleure chose à faire pour un long week-end, c’est d’être à Paris.

On va pas se mentir, avec ce jeudi férié, la tentation de l’évasion est grande… pourtant, le Pitchfork est un argument de plus pour s’épargner un week-end dans la creuse chez tata Monique. Quoi de mieux que de profiter de Paris, pendant 4 jours, avec en prime le meilleur festival du moment ?  Honnêtement ? Rien. Des lives, de la bière, des potos, et ce petit charme de début de novembre, la gougoutte au nez. C’est sans doute ça la vie.

4- Des concerts et des teufs.

Traditionnellement le Pitchfork se transforme en grosse teuf le samedi soir. Ambiance hangar et tutti quanti. Mais évidemment, on vous connaît, gros fêtards que vous êtes, vous n’avez pas envie d’attendre samedi avant d’exposer vos corps frêles aux excès de la fête.

Direction les after-parties jeudi et vendredi soir :  ça se passe au Trabendo (à côté de la grande halle de la Villette), ça commence à 23h (si t’en a marre des concerts) et ça fini à 6h du mat. Largement de quoi se réchauffer face au froid et la morosité ambiante.

5- Car le Pitchfork… c’est le Pitchfork

Depuis 2011, le Pitchfork nous a rarement déçu : le lieu, la programmation, la bouffe, l’ambiance… le rendez-vous que tu notes un an à l’avance avec un petit cœur dans ton agenda. L’occasion de recroiser des vieux potes et des ex, de faire la teuf, matter des concerts, boire et manger à des tarifs (presque) raisonnables. Bon aller va acheter ta place, on se voit là-bas.

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