General POP a désormais rejoint le réseau Prose On Pixels

Et les lauréats du Pulsar Open Art Prize sont…

IMG_4427

La semaine dernière avait lieu la finale de Pulsar Open Art Prize. Voici les résultats !

« La technologie est souvent perçue comme un geste froid et agressif. Nous avons créé PULSAR pour tenter d’emmener la technologie sur un autre terrain, celui de l’émotion, de la poésie et de la beauté ». Ce sont les mots des fondateurs de Pulsar lors de la cérémonie de remise des prix à la Station F en présence de Gilles Babinet, président de l’association.

1erPrix_ImageMouvement

Le 1er prix (pour une dotation de 30 000€) est attribué au programmeur Simon Hill et au chorégraphe Eric Minh Cuong Castaing pour le projet « Image-Mouvement ». « Le prix PULSAR va nous permettre de continuer ce ping-pong entre code et danse et donc de soutenir notre recherche technologique et esthétique » se sont réjouis les deux créateurs de ce projet, une performance dansée et captée en temps réel par un système de motion capture mobile.

2èmePrix_BodyFail_2

Le 2ème prix est remis à Bodyfail du programmeur Clément Barbisan, l’artiste designer Thomas Guillemet et le chorégraphe Jean-Marc Matos. L’œuvre est une installation qui, grâce à la création d’un « réseau de neurones » (proche de l’intelligence artificielle), fait sauter les systèmes de reconnaissance du mouvement par des mouvements dits « défaillants », inhabituels ou dansés.

3èmePrix_Urinotron

Le 3ème Prix est remis à Urinotron, du plasticien Gaspard Bébié-Valérian et du chercheur en design Dorian Reunkrilerk. L’Urinotron est une œuvre conçue comme un dispositif de production d’électricité à partir d’urine. L’objectif de cette pile est de repenser un mix énergétique 100% renouvelable à l’échelle du quotidien et des micro-usages.

« Après cette semaine de test et d’expérimentation, on se réjouit d’envisager la continuité de ce projet. Grâce à PULSAR, nous disposons de conditions optimales pour que ce projet prenne de l’ampleur et s’active tant comme projet artistique que comme objet prospectif représentatif de problématiques sociales, énergétiques et environnementales » déclare Dorian Reunkrilerk.